5 conseils pour booster votre productivité

1/ Une To-do list raisonnable

Commencez par dresser une liste de ce que vous devez faire. Nous vous conseillons de faire votre liste le vendredi soir pour finir la semaine avec l’esprit tranquille et être prêts à démarrer le lundi. Vous pouvez hiérarchiser vos tâches en fonction de 3 critères : « urgent », « important », « à faire ». Ne dressez pas une liste impossible à tenir car vous aurez l’impression de ne jamais atteindre vos objectifs.

2/ Faites des pauses !

Il faut parfois ralentir pour aller plus vite. Faites une pause toutes les deux heures, surtout si vous travaillez sur un écran. Prendre l’air, boire un café et s’oxygéner est un très bon investissement de temps. Pendant vos pauses évitez de parler de travail, votre cerveau a besoin de décrocher pour analyser de nouveau une situation et être plus pertinent.

3/ Une tâche à la fois

Saviez-vous qu’il est impossible pour votre cerveau de faire deux choses en même temps ? En effet, c’est un mythe, vous pouvez tout au plus alterner entre plusieurs tâches avec plus au moins de succès en fonction des individus. Nous vous recommandons donc de vous concentrer sur une seule mission à la fois. Vous pouvez organiser votre journée afin de prévoir des moments pour regarder vos mails ou passer des appels, ainsi vous ne serez pas perturbé systématiquement.

4/ Travaillez dans un endroit sain et organisé

Travailler dans le désordre nuit à votre productivité. Optez pour le minimaliste, un bureau bien rangé est un bon outil de productivité, à vous de trouver le système de classement qui vous convient le mieux pour vos documents. Rien de pire que de chercher un papier important pendants des heures…

5/ Des procédés de travail pour vos collaborateurs

Votre organisation personnelle dépend que de vous, mais la déployer sur toute votre entreprise est bien plus complexe. Vous pouvez créer des méthodes d’organisation à destination de vos employés en fonction des tâches qui leur sont confiées. C’est fortement utile pour vos nouvelles recrues qui peuvent s’appuyer sur un support et comprendre facilement la méthodologie de votre entreprise. Il peut être judicieux de s’appuyer sur un cabinet de conseil aux entreprises pour être guidé dans cette étape.


Les cadres dirigeants et les salariés portés en CDI concernés par l’indemnisation d’activité partielle

Suite à la situation sanitaire actuelle et les répercussions sur le monde du travail, des modalités d’urgence en ce qui concerne l’activité partielle des cadres dirigeants ainsi que des salariés portés ont été énoncées.

Le décret 2020-522 du 5 mai 2020 qui complète le décret 2020-435 du 16 avril ( en application des articles 8, 8 bis et 10 bis de l’ordonnance modifiée 2020-346 du 27 mars 2020) précise les modalités de calcul de l’indemnité d’activité partielle pour les cadres dirigeants et les salariés portés qui sont titulaires d’un CDI. Elles sont applicables aux demandes d’indemnisation pour tout salarié en activité partielle depuis le 12 mars 2020, et jusqu’au 31 décembre 2020, et ce en raison de l’épidémie de covid-19.

Les cadres dirigeants

Conformément à l’ordonnance du 15 avril 2020, les cadres dirigeants non soumis à la durée du travail ne peuvent bénéficier du dispositif de l’activité partielle que si la perte de rémunération est liée à la fermeture de l’entreprise.

Cela veut dire qu’en cas de réduction de l’horaire de travail dans leur entreprise, les cadres dirigeants ne peuvent pas en bénéficier.

Afin de calculer le montant de l’indemnité d’activité partielle, il faudra :

  • déterminer une rémunération mensuelle de référence :

Elle se calcule sur les 12 derniers mois civils, ou, si le salarié a travaillé moins de 12 mois, sur la totalité des mois civils travaillés (décret 16-4-2020, art.1, I, 7°).

  • calculer le montant horaire qui servira de base au calcul de l’indemnité :

Le montant horaire de référence se calcule en rapportant le trentième du salaire mensuel de référence à 7 heures. Il doit être divisé par 7 (décret 16-4-2020, art.1, I, 7°).

  • déterminer le nombre d’heures à indemniser :

Afin de le calculer, il faut savoir qu’une demi-journée non travaillée correspond à 3H30, un jour non travaillé correspond à 7H et une semaine non travaillée correspond à 35H. Il faut ensuite déduire de ces heures les jours fériés, ainsi que les jours de congés payés qui ont été pris au cours de cette période indemnisable.

Au final, le résultat ne peut être supérieur à l’application de la durée légale du travail sur la période concernée -à savoir 35 heures par semaine (décret 16-4-2020, art.1, I, 7°).

Les salariés portés

En ce qui concerne les salariés portés qui sont titulaires d’un CDI, les modalités de calcul sont les suivantes (décret 5-5-2020, art.1, 5°, complétant le décret 16-4-2020, art.1, I, 8°) :

  • le nombre d’heures qui sont indemnisables :

Là encore, elle se calcule sur les 12 derniers mois civils, ou, si le salarié a travaillé moins de 12 mois, sur la totalité des mois civils travaillés. Un jour travaillé correspond à 7 heures.

  • la rémunération mensuelle servant de référence :

Lorsque l’activité est équivalente à un temps plein, la rémunération mensuelle qui servira à calculer le montant de l’indemnité correspond à 75% de la valeur mensuelle de plafond de la sécurité sociale.

Si le nombre d’heures travaillées au mois est inférieur à un temps plein, la rémunération mensuelle de référence sera calculée à proportion de la moyenne mensuelle d’heures travaillées et rapportée à la durée légale du travail sur la période concernée.

  • le montant horaire :

Il est déterminé en rapportant le montant de la rémunération mensuelle de référence à la moyenne mensuelle d’heures travaillées.

Vous ne comprenez pas un point ? Vous avez besoin de plus de détails ? Ou vous ne savez pas si vous êtes concernés ? N’hésitez plus, faites appel à My Optim-Ex, votre cabinet de conseil à Toulouse !

Le conseil à 360°

Besoin de conseils personnalisés ?

Profitez d'un rendez-vous gratuit !

Nous sommes un cabinet à dimension humaine et nous avons conscience des différents sujets qui entourent une entreprise ; l’organisation, la gestion, la qualité, la communication, la gestion des ressources humaines …

PRENDRE RDV

​Travailleurs indépendants et Covid-19 : l’indemnité de perte de gains du CPSTI

Fin avril, le Conseil de la Protection Sociale des Travailleurs Indépendants (CPSTI) a alloué aux travailleurs indépendants une aide plafonnée à 1250 euros.

Travailleurs concernés et conditions

Tous les travailleurs indépendants de l’artisanat et du commerce, et non salariés, qui sont affiliés à la Sécurité Sociale des indépendants peuvent bénéficier de cette indemnité. Toutefois, quelques conditions doivent être respectées :

  • être en activité au 15 mars 2020
  • être immatriculé avant le 1er janvier 2020, et donc affilié à la caisse de Sécurité Sociale des indépendants à cette date

Une indemnité cumulable avec d’autres aides

L’indemnité de perte de gains est au prorata du montant des cotisations de chaque travailleur au régime de retraite complémentaire des indépendants (RCI).

Plus précisément, cette aide correspond au montant des cotisations de retraite complémentaire versées par le travailleur indépendant concerné sur la base de ses revenus de 2018. Elle est de maximum 1250€, et est exonérée de tout impôt et de toute charge sociale.

Néanmoins, cette indemnité est cumulable avec l’aide limitée à 1500€ du Fonds de solidarité institué par l’Etat, ainsi qu’avec les aides du fonds d’action sociale des travailleurs indépendants.

L’obtention de l’indemnité de perte de gains

Cette aide a été automatiquement versée fin avril par les Urssaf sans qu’aucune démarche de la part des travailleurs indépendants concernés ne soit nécessaire.

Vous avez reçu un certain montant mais vous voulez connaître les détails ? Vous n’avez rien reçu et vous ne savez pas pourquoi ? Vous n’aviez pas pris connaissance des autres aides possibles ? Quelles que soient vos interrogations, My Optim-Ex, notre cabinet de conseil à Toulouse, est là pour vous accompagner !

Le conseil à 360°

Besoin de conseils personnalisés ?

Profitez d'un rendez-vous gratuit !

Nous sommes un cabinet à dimension humaine et nous avons conscience des différents sujets qui entourent une entreprise ; l’organisation, la gestion, la qualité, la communication, la gestion des ressources humaines …

PRENDRE RDV

Comment demander les aides de la région Occitanie ?

Nous vous expliquons la démarche à suivre pour demander les aides de la région Occitanie. En cette période de crise COVID-19, notre équipe est à votre disposition pour vous aider dans ce type de démarches gratuitement.

Fonds de Solidarité volet 2 – Région Occitanie

  1. Les bénéficiaires :
    1. Seules les entreprises bénéficiaires des 1 500 € (donné par la DGFIP) peuvent prétendre à cette aide.
    2. Avoir entre 1 et 10 salariés
    3. TPE indépendantes, micro-entrepreneurs, indépendants, professions libérales
    4. Tout régime fiscal et social
    5. Tout secteur d’activité
  2. Critères
    1. Entreprises se trouvant dans l’impossibilité de régler leurs créances exigibles à 30 jours
    2. Entreprises s’étant vues refuser un prêt de trésorerie auprès de la banque
    3. Perte de CA de plus de 50 % en mars 2020 par rapport à mars 2019
    4. CA de moins de 1 million d’€
    5. Bénéfice imposable inférieur à 60 000 €
  3. Nature de l’aide :
    1. Entre 2000 et 5000 € selon les cas.
  4. Procédure pour demander l’aide
    1. Créer son compte ICI
    2. Il faudra créer un compte avec votre adresse et mot de passe et détailler ainsi vos difficultés.

2/ Fonds de Solidarité exceptionnel Occitanie :

  1. Les bénéficiaires :
    1. Seules les entreprises qui n’ont pas eu l’aide de la DGFIP et celui du volet 2 (expliqué au-dessus) peuvent demander cette aide. Non cumulable.
    2. Avoir entre 0 et 10 salariés
    3. TPE indépendantes, micro-entrepreneurs, indépendants, professions libérales
    4. Tout régime fiscal et social
    5. Tout secteur d’activité
  2. Critères
    1. Perte de chiffre d’affaires comprise entre 40 et 50% en mars 2020 par rapport à mars 2019 (ou moyenne des CA de la date de création au 1er mars)
    2. Chiffre d’affaires de moins de 1 M€ (dernier exercice clos)
    3. Bénéfice imposable inférieur à 60 000 €
  3. Nature de l’aide
    1. Entreprises de 1 à 10 salariés : subvention forfaitaire de 1 500 €
    2. Indépendants ou entreprises à 0 salarié : subvention forfaitaire de 1 000 €
  4. Procédure pour demander l’aide
    1. Créer son compte ICI
    2. Il faudra créer un compte avec votre adresse et mot de passe et détailler ainsi que vos difficultés.

Le conseil à 360°

Besoin de conseils personnalisés ?

Profitez d'un rendez-vous gratuit !

Nous sommes un cabinet à dimension humaine et nous avons conscience des différents sujets qui entourent une entreprise ; l’organisation, la gestion, la qualité, la communication, la gestion des ressources humaines …

PRENDRE RDV

Coronavirus : quelles aides pour les auto-entrepreneurs et indépendants ?

CORONAVIRUS VS INDÉPENDANTS

Concernant les dirigeants qui paient leurs cotisations sociales personnelles à l’URSSAF (travailleurs indépendants), l’échéance du 20 mars ne sera pas prélevée. Dans l’attente des mesures à venir, le montant de cette échéance sera lissé sur les échéances ultérieures (avril à décembre).

En complément de cette mesure, les travailleurs indépendants peuvent solliciter :

  • L’octroi de délais de paiement, y compris par anticipation. Il n’y aura ni majoration de retard ni pénalité ;
  • Un ajustement de votre échéancier et cotisations pour tenir compte d’ores et déjà d’une baisse de revenu, en réestimant vos revenus sans attendre la déclaration annuelle en mai 2021.
  • L’intervention d’une action sociale pour la prise en charge partielle ou totale de vos cotisations ou pour l’attribution d’une aide financière exceptionnelle en remplissant ce formulaire :

https://www.federation-auto-entrepreneur.fr/sites/default/files/aide_financiere_urssaf.pdf

Pensez à bien joindre les documents demandés.

Le conseil à 360°

Besoin de conseils personnalisés ?

Profitez d'un rendez-vous gratuit !

Nous sommes un cabinet à dimension humaine et nous avons conscience des différents sujets qui entourent une entreprise ; l’organisation, la gestion, la qualité, la communication, la gestion des ressources humaines …

PRENDRE RDV

Extrait Kbis : tout savoir sur ce service gratuit et illimité

Un Kbis, c'est quoi ?

Un extrait Kbis est un document officiel qui atteste de l’existence juridique, et donc de la légalité, de votre entreprise. En bref, c’est une véritable “carte d’identité”, et l’unique document prouvant l’identité et l’adresse de la personne (physique ou morale) immatriculée, son activité, sa forme juridique, sa raison sociale, son ou ses dirigeants, sa dénomination sociale, etc.

Jusqu’en octobre 2019, obtenir un extrait Kbis était payant. Aujourd’hui, il est totalement gratuit et les greffiers des tribunaux de commerce ont mis en place un portail en ligne sécurisé qui porte le nom de ​MonIdenum.​ Il s’agit de fournir aux entrepreneurs un moyen simple d’accéder gratuitement aux informations qui les concernent, et de fournir une “pièce d’identité” fiable auprès des administrations.

Pour pouvoir l’obtenir à titre gratuit, il faut tout d’abord que l’entreprise soit immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS).

Ensuite, et lorsque vous êtes sur le portail en ligne ​MonIdenum,​ cliquez sur “activer MonIdenum” et transmettez les éléments nécessaires : votre carte d’identité recto/verso, votre email, votre numéro de téléphone, ainsi que le nom de votre entreprise (ou vos entreprises si vous en avez plusieurs). Si vous avez fourni toutes les informations demandées, la validation de votre compte est immédiate, et vous pourrez télécharger votre extrait Kbis en format PDF dans l’onglet “Kbis & Performances” . Il vous permettra de faire valoir vos droits sur votre ou vos sociétés.

Attention toutefois à renouveler régulièrement votre extrait Kbis, puisque sa validation est de seulement trois mois.

Le conseil à 360°

Besoin de conseils personnalisés ?

Profitez d'un rendez-vous gratuit !

Nous sommes un cabinet à dimension humaine et nous avons conscience des différents sujets qui entourent une entreprise ; l’organisation, la gestion, la qualité, la communication, la gestion des ressources humaines …

PRENDRE RDV

L’épargne salariale favorisée dans les TPE/PME

L’épargne salariale pour les TPE et les PME

L’épargne salariale est un système d’épargne collective au sein d’une même entreprise. Ainsi, les primes de participation et d’intéressement permettent de verser aux salariés de l’entreprise une prime collective, et cela grâce à la performance de l’entreprise et à ses bénéfices.
Aujourd’hui, la prime de participation est obligatoire pour les entreprises de 50 salariés ou plus, alors que l’intéressement, lui, reste facultatif.
Ces primes sont habituellement affectées sur un plan d’épargne d’entreprise (PEE) ou un plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO) mais peuvent également être perçues immédiatement par le salarié si ce dernier le souhaite.

L’épargne salariale peut être un outil d’implication et de motivation des salariés qui ne vous coûtera pas grand-chose en tant que TPE ou PME.
De plus, les sommes versées au titre de la participation et de l’intéressement bénéficient d’avantages sociaux et fiscaux renforcés. Par exemple, depuis le 1er janvier 2019, les charges sociales ne sont assujetties qu’à la CSG et à la CRDS (9,7%) due par les salariés. C’est-à-dire que le forfait social (la contribution patronale de 20%) est supprimée pour les entreprises de moins de 50 salariés sur l’ensemble des sommes versées (participation et intéressement).
Ces exonérations concernent donc toutes les entreprises employant moins de 50 salariés qui proposent la prime de participation ou d’intéressement à leurs employés. Les entreprises de 50 à 250 salariés, elles, ne sont concernées par ces exonérations que pour l’intéressement.

Enfin, ce dispositif peut concerner le conjoint du chef d’entreprise. En effet, un conjoint, s’il est collaborateur ou associé, et si précisé dans l’accord de participation et d’intéressement, peut bénéficier de l’épargne salariale et des mêmes avantages sociaux et fiscaux que le chef d’entreprise.
Afin d’aider les PME à mettre en place des accords d’épargne salariale, deux modèles simplifiés d’accords sont dès à présent disponibles sur le site du ministère du travail. Elles pourront également opter pour l’application directe des accords types adaptés à leur secteur d’activité.


En tant que chef d’entreprise, quels sont vos devoirs ?

En tant qu’employeur, vous avez des devoirs et des obligations :

Dans un premier temps, et même si cela semble évident, l’employeur est dans l’obligation de fournir un travail à son salarié, les moyens de le réaliser, puis de le rémunérer. Outre ces obligations principales qui sont de respecter les lois et accords, l’employeur doit respecter toutes les clauses figurant dans le contrat de travail ainsi que dans la convention collective. Par exemple, il se doit de verser le montant du salaire prévu dans le contrat. Si ce n’est pas le cas, l’employeur risque d’engager sa responsabilité civile, et donc de verser des dommages et intérêts au salarié. Par ailleurs, il doit fournir à l’employé un rapport écrit sur les clauses essentielles du travail.

L’employeur doit aussi veiller à ce que ses employés puissent travailler dans des conditions d’hygiène et de sécurité optimales, et ainsi veiller à leur santé au travail. Par exemple, chaque nouvel employé doit aller à une visite médicale d’embauche. Il est également dans l’obligation de traiter ses employés de manière égalitaire, indépendamment de l’origine, du sexe, de la religion, de l’âge ou même des opinions politiques, et dans la même logique, de réprimer toute discrimination dans l’entreprise, notamment en matière de recrutement. L’employeur doit également prévenir et réprimer le harcèlement sexuel.

Si l’employeur décide de prendre de nouvelles mesures dans le cadre du contrôle des activités de ses salariés, telles que des caméras de surveillances ou l’accès à Internet, il doit les en informer au préalable.

Par ailleurs, la loi impose une obligation de formation à l’employeur. Ce dernier doit donc s’assurer de l’adaptation de ses salariés à leur emploi en participant au financement des actions de formation. Ainsi, l’employeur doit promouvoir une bonne ambiance de travail en épaulant ses employés dans leurs tâches et en favorisant leur développement personnel.

Dès la création de son entreprise, et dès lors qu’il embauche un ou plusieurs salariés, l’employeur doit contracter une assurance accident à l’attention de ses employés. Cela permet à l’employé de bénéficier d’indemnités en cas d’accident du travail.

Enfin, à la fin d’un contrat, l’employeur doit fournir un certificat de travail à son employé si celui-ci le demande.


L’organisation d’entreprise expliquée en 4 points

1/ L’organisation d’entreprise, késako ?

L’organisation d’entreprise consiste en une action et en le résultat des mesures prises par une personne ou un groupe d’individus en termes de structuration, d’agencement, de délimitation, de répartition et de coordination des ressources disponibles au sein de l’entreprise afin qu’elle puisse fonctionner correctement.

2/ Quand est-ce que je peux parler d’organisation d’entreprise ?

Toute entreprise, grande ou petite, dispose déjà d’une organisation d’entreprise. Cela peut être dans les horaires ou même dans la répartition des tâches entre les collaborateurs. L’organisation d’entreprise est propre à chaque entreprise. Elle répond aux exigences et aux priorités de la direction. Il est important de noter que d’une manière générale, la qualité d’organisation d’une entreprise est directement liée à la notion de performance, de bon fonctionnement… et de management. C’est pour cela que l’organisation d’entreprise doit être bien étudiée et être partagée par tous.

3/ Je veux améliorer l’organisation de mon entreprise !

Il est très difficile de parler de manière générale, car l’organisation d’entreprise est spécifique à chaque société. Mais certaines actions basiques peuvent vous permettre d’améliorer l’organisation de votre entreprise, tels que définir les missions de chacun, mettre en place des objectifs SMART, communiquer efficacement en interne, manager de façon motivante…

4/ Est-ce que ça veut dire que je vais forcément réussir ?

En ce qui concerne l’impôt sur les sociétés, une clause anti-abus a été mise en place. Celle-ci permet à l’administration de vérifier et constater une possible triche qui permettrait à une société d’obtenir un avantage fiscal. Par ailleurs, une amende est également donnée en cas de délivrance irrégulière d’un document qui permet l’obtention d’un avantage fiscal.